Bataille autour du sondage sur l'antisémitisme à l'université : les dessous de sa suspension

Si certains relèvent des points « critiquables», tous s’accordent à dire que celui- ci n’a « rien de particulièrement original». Pour cause : selon Anne Muxel, l’une des chercheuses chargées de l’enquête du Cevipof, les questions seraient attirées « d’autres sondages sur l’antisémitisme commandés par la Licra, la Fondation pour le judaïsme, le Mémorial de la Shoah »… Ce que confirme Anne-Sophie Sebban-Bécache, vice présidente Europe de l’American Jewish Comittee ( AJC), pour laquelle « ce sondage reprend un certain nombre de questions que nous posons dans notre radiographie bisannuelle de l’antisémitisme faite par l’IFOP en partenariat avec la Fondapol […]. La question est donc pourquoi cette enquête a posé problème, ou plutot pourquoi certains refusent de vouloir documenter cette réalité à l’université aujourd’hui…»

Lisez la suite de l’article sur l’express.fr