Boualem Sansal, un an dans le piège de la diplomatie franco-algérienne
RÉCIT - Emmanuel Macron a attribué mercredi la libération de Boualem Sansal aux «efforts constants de la France», qualifiant le président allemand Frank-Walter Steinmeier, qui a obtenu sa grâce, de «tiers de confiance». Un succès diplomatique, alors que le régime algérien est parvenu depuis 2017 à dicter sa loi au président de la République, du refus de reprendre ses ressortissants frappés d’OQTF à l’arrêt de la coopération sécuritaire.
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