Et la question est désormais posée : sa légalisation, présentée au départ comme l’« ultime recours », ne serait elle pas devenue l’alternative bien commode à un système de santé défaillant ? Certains vont même plus loin et se posent la question de l’euthanasie pour « raisons sociales, quand les gens n’ont pas les moyens financiers ». En France, et selon une enquête de la Fondapol, la loi qui vient d’être votée à l’Assemblée permettrait une économie de 1,4 milliard d euros par an.
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