Pierre-Edouard Stérin et Vincent Bolloré cherchent à faire l’union des droites autour du « libéralisme »

La soirée – dont le modèle sera décliné d’ici 2027- était ainsi présentée comme un débat sur le libéralisme. «Dans un pays rongé par la dette, la norme, le contrôle et l’infantilisation des citoyens, ce sommet marque le retour de l’idée libérale dans le débat public», promettaient les organisateurs. Mais les principales figures politiques, médiatiques, philosophiques ou universitaires de ce courant de pensée en France sont absentes. Les personnalités promues ce soir par les sphères de MM. Stérin et Bolloré sont-elles libérales? Le 15 avril, dans une note pour le think tank Fondapol, l’historien Jérôme Perrier notait «le détournement populiste du courant libertarien» dont l’incarnation est le président argentin, Javier Milei, qui entre en contradiction avec les piliers du libéralisme, notamment sur l’immigration, les modes de vie ou la question des monopoles.

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