Au moment de la sortie internationale d’Alice au pays des merveilles, l’étrange univers de Tim Burton n’est pas la seule voie nouvelle dans laquelle s’engagent les studios Disney. Lors de la conférence ECO:nomics organisée par le Wall Street Journal le 3 mars dernier, Robert Iger, PDG de Walt Disney, a dévoilé un projet innovant visant à réduire l’empreinte carbone du groupe. Dès 2009, celui-ci a mis en place une « taxe carbone » interne : chacune de ses entités opérationnelles doit payer une contribution interne proportionnelle à ses émissions de CO2. | Les fonds récoltés serviront à financer des projets de reforestation en zone tropicale. Cette mesure fait partie d’un plan d’action plus vaste en faveur de l’environnement, comprenant notamment la réduction des déchets et l’utilisation de carburants plus propres. Le public de ECO:nomics n’a toutefois pas manqué de relever que le chemin d’une croissance faible en carbone allait être difficile pour Disney. Le groupe est notamment propriétaire de Disneyworld, parc d’attraction qui draine des touristes du monde entier, et donc source de très nombreux déplacements en avion. (source : The Wall Street Journal)
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